Avec Jb on a bu pleins de bieres dans pleins de bars, on s'est même promener aux bords des etangs, dimanche apres midi
lundi 31 août 2009
dimanche 30 août 2009
mercredi 26 août 2009
vendredi 21 août 2009
Message Important
Suite a des probleme financier du a la crise, il y a eu quelques changement de direction au sein de l equipe du megot,
la Direction du megot "Association de malfaiteur a but lucratif depuis 2004" ne depend plus de la volonte de Dieu,
et je suis fiere de vous presenter Stephane, notre nouveau colaborateur et directeur du Megot
j espere que vous avez bien note le numero
la Direction du megot "Association de malfaiteur a but lucratif depuis 2004" ne depend plus de la volonte de Dieu,
et je suis fiere de vous presenter Stephane, notre nouveau colaborateur et directeur du Megot
j espere que vous avez bien note le numero
jeudi 20 août 2009
Nous étions quinze en tout.
Cinq tentes,
deux minibus,
douze ados en rut,
douze lecteurs mp3,
une trentaine de petits et gros sacs,
une malle bleue métallique,
deux sacs glacière,
et deux fers a défriser (ou lisser) les cheveux.
Le tout sous trente cinq degrés dès l'aube.
Le projet est le suivant: faire le tour de la Sicile en deux semaines.
Proposition d'itinéraire:
0- arrivée à l'aéroport de Palerme et se rendre tout de suite à...
1-Cefalu, puis
2-Milazzo pour prendre le bateau pour le...
3-Stromboli, puis
4-Acireale,
5-Syracuse,
6-Agrigento, et finir les derniers jours à...
7-Palerme.
Rien n'est réservé, tout peut donc être modifié en fonction des envies du groupe et du budget. Pas nul le truc?
Mais c'est sans compter sur la faculté légendaire de l'ado du XXIème siècle à ne jamais se satisfaire. C'est à dire, si j'essaie de me mettre dans la tête de certains (heureusement pas de tous) il faudrai:
-un camping en tente climatisé s'il vous plait et sans insectes si possible.
-quelqu'un pour faire à manger (varié et équilibré), faire la vaisselle, conduire la limousine, laver les vingt kilos de fringues (blanches de préférence), et satisfaire les caprices de chacun:
-"Charlie, tu me paie une glace?" (sourire mielleux plein de bagues et de fils en métal)
-"Nan."
Bon, ils étaient sympa quand même nos petits bourgeois de la té-ci (c'est une catégorie sociale que j'ai inventé et qui leur correspond bien), certains un peu casse couille sur les bords.
Les Beaux Gosses de Riad Sattouf. Mais en vrai. Branlette, appareil dentaire et crise de nerfs surréalistes. Un petit côté 93 en plus... peut-être.
Avec tout ça j'ai quand même grimpé et approché le cratère d'un volcan et senti ses grognements, dormi sur la plage après un bain de boue et conduis un minibus les yeux fermés.
La prochaine fois je vous raconterai comment j'ai flingué ce même minibus pour échapper à la millième écoute d'un CD de Mickaël Jackson.
Cinq tentes,
deux minibus,
douze ados en rut,
douze lecteurs mp3,
une trentaine de petits et gros sacs,
une malle bleue métallique,
deux sacs glacière,
et deux fers a défriser (ou lisser) les cheveux.
Le tout sous trente cinq degrés dès l'aube.
Le projet est le suivant: faire le tour de la Sicile en deux semaines.
Proposition d'itinéraire:
0- arrivée à l'aéroport de Palerme et se rendre tout de suite à...
1-Cefalu, puis
2-Milazzo pour prendre le bateau pour le...
3-Stromboli, puis
4-Acireale,
5-Syracuse,
6-Agrigento, et finir les derniers jours à...
7-Palerme.
Rien n'est réservé, tout peut donc être modifié en fonction des envies du groupe et du budget. Pas nul le truc?
Mais c'est sans compter sur la faculté légendaire de l'ado du XXIème siècle à ne jamais se satisfaire. C'est à dire, si j'essaie de me mettre dans la tête de certains (heureusement pas de tous) il faudrai:
-un camping en tente climatisé s'il vous plait et sans insectes si possible.
-quelqu'un pour faire à manger (varié et équilibré), faire la vaisselle, conduire la limousine, laver les vingt kilos de fringues (blanches de préférence), et satisfaire les caprices de chacun:
-"Charlie, tu me paie une glace?" (sourire mielleux plein de bagues et de fils en métal)
-"Nan."
Bon, ils étaient sympa quand même nos petits bourgeois de la té-ci (c'est une catégorie sociale que j'ai inventé et qui leur correspond bien), certains un peu casse couille sur les bords.
Les Beaux Gosses de Riad Sattouf. Mais en vrai. Branlette, appareil dentaire et crise de nerfs surréalistes. Un petit côté 93 en plus... peut-être.
Avec tout ça j'ai quand même grimpé et approché le cratère d'un volcan et senti ses grognements, dormi sur la plage après un bain de boue et conduis un minibus les yeux fermés.
La prochaine fois je vous raconterai comment j'ai flingué ce même minibus pour échapper à la millième écoute d'un CD de Mickaël Jackson.
Bien à vous.
dimanche 9 août 2009
samedi 8 août 2009
J'peux rajouter a ma liste encore un demenagement, ma vie dans des caisses que je ne deballe même plus, j'entrepose, j'interpose, me repose à peine et ne m'interroge même plus.
J'encule cette pute qui s'apelle confort, et la refout sur le trottoir de mon "desesboire" dixit Bonanga-Whisky-Coca.
J'ai vu un aveugle qui attendait un 129, moi je vois plus grand chose avec ce pare-brise dégeu et j 'attends un 25 salvateur qui lancera a jamais ma carrière de millionaire, j'roule encore une fois sous l'orage et me deplace tellement vite et loin que je ne me suis plus...
bah j'y arriverai bien au bout...
mais au bout de quoi...
Seule Allah le saura...
Le E féminin n'est pas si innocent que ça quand on sait ce que Gary pensait de Jesus...
Heuresement pour mon come back belge eclair j'ai croisé un Charly (et non pas Charlie) en grande forme qui a un toit assez vaste pour que je deguele mon ego sur la ville et ingurgite les double dose de pastis au soleil couchant, double dose qui nous emmena au comptoir d'un bar où commence pas mal d'histoire notament celle où j'ai insulté un bolivien et tiré les vers du nez à un brocateur qui a vendu son appart' de 300m2 rempli de broles accumulés pendant plus de quinze pour finir par dormir sur le canape de son petit frere avec une caisse de bouquins et une caisse de musique
"...le vital quoi, parce qu'aprés tout, les objerts ça reste des objets et l'amour vaut mieux le mett' dans le coeur d'une fille"
On a fini aux abords des étangs avec la dernière mousse à la main, on s'est endromis comme des oies pour finir par se faire reveiller par les canards...les trams reprennaient déjà leurs services...
Quitte à être dans le nostalgique autant publier un brouillon qui traine sur ce blog depuis quelques semaines:
Hier j'me tatais à tenter de me reposer, mais finalement je suis quand même sorti, histoire de ne pas avoir peur de passer à côté de quelque chose.
J'ai fais un truc que j'avais pas fais depuis un millénaire: le trajet en bmx de chez moi à chez Antho.
ça m'a mis dans une drôle de condition, une espece de torpeur nostalgique, c'est sur que la fatigue à contribuée à ce sentiment.
Puis avec Antho, on s'est mis en chemin de la place d'Hayange, tant que l'on était dans le nostalgique autant aller jusqu'au bout. Arriver là bas, on a bien du se rendre à l'évidence qu'en abandonnat la place, d'autres avaient pris la notre (de place). Sauf que c'est pas glorieux, une vingtaine de voitures et des tectoniquex footeux, même pas un petit set de marches exploitable, on s'est regardé et on s'est rien dit et pis on a était voir ailleurs, voir les autres bout de trottoirs ou de ferrailles ou y'a des années lumières de ça, on passait des heures à s'acharner.
De fil en aiguilles, on s'est retrouvé pas loin d'une des entrées de l'usine. Celle qui à cessée sont activité il y a quelque mois et que Jb pleure les soirs de solitude.
Le portail était grand ouvert, toutes les lumières allumées...
Alors on est rentré....
Chronique du Portugal
J'aime pas qu'on me dise quoi faire,
Mais j'demande toujours qu'est ce que j'dois faire.
L'économie, la crise, les banques, la Politique, l'école, le boulot,
le Lotto, l'usine, la voiture, le sèche cheveux electrique,
La recherche Bactériologique, la muraille de Chine, la mayonaise en tube.
Le Reichstag, La société générale, la Pizza surgelé, les centrales nucléaires,
Qu'est ce que ça te parait con quand t'es amoureux.
Qu'est ce que c'est con d'ailleurs,
quand tu t'apperçois que t'es moins libre qu'un galets sur la plage.
Plus moche que les lions D'Afrique, Plus fragile qu'un Bambou Chinois.
et certainement plus con que les Singes de la Sorbonne,
J'regarde ces bras, et j'rigole, y a tellement de bracelets, de colliers, et de bagues la dessus,
Je ne comprend pas pourquoi, et ça m'fait rire.
Elle, elle rale, elle veut allé au musée et à la plage, elle en a marre que j'fume trois clopes et que j'boivent quatre cafés avant de faire quoi que ce soit,
On s'dit qu'on ira la , qu'on fera ceci, cela, l'année prochaine, ou demain, c'est pas important, le temps on l'a, et j'y mettrais le Sable de toute les plages du monde dans ce sacré sablier qui s'écoule, pour une soirée de plus sur un banc à regarder la lune, la main dans la main, et la bière dans l'autre. , J'irais en Suisse décalé toutes les montres qui sont bien trop fausse, Toujours trop précise pour que je sois à l'heure, j'irais vivre dans le ciel, et je ferais le tour du monde pour être en décalage horaire perpetuel, pour me racourcir un peu plus la vie à fumer des cigarettes en regardant la mer.
Et quand j'en ai marre de boire du café, j'raconte les couchés de Soleil sur les usines de l'Est, L'odeur de la Pluie sur le sable de la Mer du Nord, Les 1000 et une bières de Bruxelles que j'ai bu sans amour ces soirs de déboires, La valse a Mille temps, La Marseillaise au Reggae, Lièges et ces chiens, ces chiennes, ces Punks, sa Meuse, et son pot au lait,
Puis le soir, dans un bairro Alto pleins d'américains et de français, quand je commande des bières en Portugais, et que je rencontre des francophones, je leur chante la Costa da Caparica, Elle, elle pleure sa Saudade pour Santa Catarina, qu'elle a quitté. Elle parle de ces chats trouvé dans l'Alfama, de sa famille qui a quitté la taule pour les tours pourries, D'une jeunesse ou tu pouvais encore voir des Dauphins venir se perdre dans le Taje.
On parle de Rio de Janeiro, de Cococabana, des plages, de l'amazonie, qu'on a vu dans cette série Brésilienne, hier sur la RTP, on s'dit qu'on ira la bas, c'est sur.
J'lui promet qu'on ira pas a Paris voir le Louvre, que je ne ferais pas le malin devant la tour Eifel, que Saint Germain c'est pourri, que le sacré Coeur c'est plein de Chinois, que les cafés sont trop cher pour nous, qu'a Montmartre y a bien qu'amélie poulain et les riches qui peuvent encore y vivre,
Après, quand on a bien bu, On s'promene, On s'promet, On cherche des pays ou allé plus tard,
Et c'est déja demain, J'ai encore rien foutu, j'ai fait que parlé toute la nuit,
Alors j'l'emmène à la plage.
Mais j'demande toujours qu'est ce que j'dois faire.
L'économie, la crise, les banques, la Politique, l'école, le boulot,
le Lotto, l'usine, la voiture, le sèche cheveux electrique,
La recherche Bactériologique, la muraille de Chine, la mayonaise en tube.
Le Reichstag, La société générale, la Pizza surgelé, les centrales nucléaires,
Qu'est ce que ça te parait con quand t'es amoureux.
Qu'est ce que c'est con d'ailleurs,
quand tu t'apperçois que t'es moins libre qu'un galets sur la plage.
Plus moche que les lions D'Afrique, Plus fragile qu'un Bambou Chinois.
et certainement plus con que les Singes de la Sorbonne,
J'regarde ces bras, et j'rigole, y a tellement de bracelets, de colliers, et de bagues la dessus,
Je ne comprend pas pourquoi, et ça m'fait rire.
Elle, elle rale, elle veut allé au musée et à la plage, elle en a marre que j'fume trois clopes et que j'boivent quatre cafés avant de faire quoi que ce soit,
On s'dit qu'on ira la , qu'on fera ceci, cela, l'année prochaine, ou demain, c'est pas important, le temps on l'a, et j'y mettrais le Sable de toute les plages du monde dans ce sacré sablier qui s'écoule, pour une soirée de plus sur un banc à regarder la lune, la main dans la main, et la bière dans l'autre. , J'irais en Suisse décalé toutes les montres qui sont bien trop fausse, Toujours trop précise pour que je sois à l'heure, j'irais vivre dans le ciel, et je ferais le tour du monde pour être en décalage horaire perpetuel, pour me racourcir un peu plus la vie à fumer des cigarettes en regardant la mer.
Et quand j'en ai marre de boire du café, j'raconte les couchés de Soleil sur les usines de l'Est, L'odeur de la Pluie sur le sable de la Mer du Nord, Les 1000 et une bières de Bruxelles que j'ai bu sans amour ces soirs de déboires, La valse a Mille temps, La Marseillaise au Reggae, Lièges et ces chiens, ces chiennes, ces Punks, sa Meuse, et son pot au lait,
Puis le soir, dans un bairro Alto pleins d'américains et de français, quand je commande des bières en Portugais, et que je rencontre des francophones, je leur chante la Costa da Caparica, Elle, elle pleure sa Saudade pour Santa Catarina, qu'elle a quitté. Elle parle de ces chats trouvé dans l'Alfama, de sa famille qui a quitté la taule pour les tours pourries, D'une jeunesse ou tu pouvais encore voir des Dauphins venir se perdre dans le Taje.
On parle de Rio de Janeiro, de Cococabana, des plages, de l'amazonie, qu'on a vu dans cette série Brésilienne, hier sur la RTP, on s'dit qu'on ira la bas, c'est sur.
J'lui promet qu'on ira pas a Paris voir le Louvre, que je ne ferais pas le malin devant la tour Eifel, que Saint Germain c'est pourri, que le sacré Coeur c'est plein de Chinois, que les cafés sont trop cher pour nous, qu'a Montmartre y a bien qu'amélie poulain et les riches qui peuvent encore y vivre,
Après, quand on a bien bu, On s'promene, On s'promet, On cherche des pays ou allé plus tard,
Et c'est déja demain, J'ai encore rien foutu, j'ai fait que parlé toute la nuit,
Alors j'l'emmène à la plage.
lundi 3 août 2009
WOODBOUSTOCK 2009
Voilà on viens de rentrer, et je n'ajouterais rien de plus que cette vérité vraie.
"En 39 on a peut être donné les juifs, mais on a pas donné les coins à Champignons."
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