j'aquarellise mes dessins de Berlin depuis deux matins sur ce petit balcon plein de soleil, en faisant semblant d'avoir que ça à foutre; je suis en pleine phase de suicide social à un point où j'en arrive presque à apprécier le reggae matinal et la vodka schweppes des vernissages où j'assume mon rôle de pic assiettes notoire.
Je sais que la cité ardente et sa meuse m'attendent, mais le boulot aussi, alors je me tire une balle dans le pieds et repousse les écheances comme c'est pas permis. Mais c'est promis les copains demain je prends ma vie en main.
4 commentaires :
reviens vite!
Je reconnais bien ton style de branleur refoulé, mon p'tit frisé! (oserai-je une comparaison à Stephane Bern?)
Tout ça pour avoir l'air overbooké après, oui!
en parlant de refoulement, qui sent autant la sardine sur ce blog?
Au fait dans le marais il se passe quelque chose ou quoi, on a pas le droit à une photo ou deux?
t'as sacré fluide quand tu pars en voyage. je suis conquis.
...et si on montait un groupe tous les deux, histoire d'emballer les gonzesses?
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