dimanche 10 janvier 2010

Schnaptz et fin



Note de l'auteur :

Pour ma bonne conscience, je tiens à dire que j'ai essayé de voler tous les gags de Monsieur Feraille pour la réalisation de ce dernier épisode.
Et pour faire le malin, et dans le but d'enrichir ma narration fort Fenschoise, mais aussi pour que les amoureux de la justification artistique puissent toujours se masturber en regardant ma photo dédicacé,
j' ai jugé bon d'incorporer à mon récit la célèbre trame décrite par Freud dans son fameux triptique "au bonheur des Dames"
où , en se référant aux travaux de Nietzche *, il amène l'hypothèse que la soirée réussi chez l'individu alcoolique moyen de type A se déroule chronologiquement en 5 évènements majeurs.

1) Le premier verre. (page 1, case numéro 2)

2) La musique et l'émotion (page 1, case 3)

3) La violence, la haine et la bagarre. (page 1, case 4)

dans notre cas, et afin de pas choquer les gonzesses qui surfent sur notre blog dans l'espoir de coucher avec Kristo, je me suis permis de réduire cette violence à un simple souvenir un peu grossier.)

4) Le régurgitement intestinal et la perte de l'équilibre (page 1, dernière case)

D'après Joey Starr, banlieusard enrichie, le manque de virilité de l'individu alcoolique moyen de type A peut amener cette phase à se dérouler de manière précoce, mais Einstein, dans sa thèse "la poésie des oiseaux", nous rappelle que le lieu est un facteur pouvant, dans certain cas, accélérer l'avénement de cette phase., dans notre cas, la mer, les bateaux et les maux qui vont avec ont accélérer le processus gastrique. La virilité du personnage n'est donc nullement remise en question,

5) Combler les besoins affectifs (Page 2)

Selon les travaux de Milhouse Van Hooten, personnage clé des Simpsons, titulaire de la légion d'honneur française, la 5ème phase peut être les conséquences directes du divorce précoce de ces parents adoptifs. voir l'expression d'un sentiment d'impuissance face à un père excercant des pressions d'ordre sexuel envers l'individu moyen de type A.
Quand à Didier Bourdon, chercheur au CNRC, la cause la plus vraisemblable de la recherche affective en fin de soirée serait une sexualité non afirmé, voir dans certains cas extrême, un besoin de bite refoulé.

Vous en conviendrez que dans notre cas, l'hypothèse de Didier était plus approprié à une certaine vengeance que je me devais en la personne de Charlie Zanello, qui trainait depuis bien trop longtemps et m'empêcher parfois de dormir la nuit.

J'tattend vos réponses, dessinées, bâclées, grogné, vomites, fumantes, cuites, crues ou écrites.
en espérant y voir une trace quelconque d'amour, de schnaptz, ou de virilité.

Bien à vous,
Le Capitaine

* notamment l'inoubliable essai " ce soir, on fait la fête" Nietzsche, Edition Galimard, Paris, 1879

1 commentaire :

Masto a dit…

Ah cher Johan, à trop ressaser ce concept de virilité, tu commences à nous inquiéter...Cette fixette sur tes carences en la matière ne doit pas t'empêcher de concevoir la vie avec mordant.
Et puis tu sais, cette calvitie naissante que tu pleures le long de la meuse, dis-toi que c'est un peu comme le pieds-bot d'Anto ou le bec de lièvre de JB, çà ne les empêche pas de tomber les filles sur la Ramblas