lundi 29 septembre 2008

Lischboua ma caraille

3heures d'avion c'est pas grand chose....

"est ce qu'on peut mettre de la musique sur la vie d'un flic?"
Louis de funès - le gendarme de saint tropez

"est ce qu'on peut mettre de la musique sur la vie de Johann Foltz?"
Carla Bruni - le plus beau du quartier - piste 08

ici y a trop de palmier, il me manque :
- un peu de la fumée de ma belle vallée,
-les dictons de Jules a 4h du mat' au pot au lait, racontant l'amour et la bière Belges,
-ma cigarette d'ouvrier consumé , mon tabac d'Arizona bourgoisement posé a la fenetre de mon kot étudiant de quelque 900mètres carrée,
-L'amour
-les batailles de Punk Liégeois, aux détour des briques , mes tentatives pour essayer de les eduquer
-L'odeur de la meuse qui m'chatouille les narines les jolie matin de cuite ou les oiseaux m'casse la pipe sur ces foutues arbre,
-les aboiements d'Antho qui pète en faisant des 3;6 qui chie derière les Super U qui boit presque plus que mon grand père ,
-la déviation nasale de Mathieu qui parle plus que ma mère après deux verres, ces théories foireuse sur l'amour qu'elle soit pratique ou théorique quoi qu'analithyque et gravé sur notre disque, Movie boys fucker
-les histoire Belges de Jb sur la rue et particulièrement celle qui te ramène du Pot au Lait a chez moi en passant par le mister - cash, avec arret hygiènique obligatoire dans ses cabines ou se cotoient l'anglophonie et le zouk local quoi que plutot bastard , cette oasis Liègeoise que les routiers ne se prive pas de nommer la ptite Amsterdam, lieu d'accueil et d'orgueil pour tous ces voyageurs fatigués.
-les fourneaux d'Uckange,
-Les accolades d'un barbu Belges qui conduit les camionettes comme Jesus a pécho Marie dans cette grange, avec amour et sans frein (sacré juifs).

Les hommes sont ainsi fait, de plaie et de rejet, a chercher ce qu'on ne sait,
J'ai touché le bonheur pleins de foie (abimé) dans des soirées alcoolisé, tu t'apercoit le lendemain matin qu'il est perdu ,mais ne pleurons pas cette perte car elle n'est que le reflet de ce bonheur qu'on a cru exister, l'ethymologie meme du mot "bon heure" me fait gerber moi qui n'est pas capable de me fier a cette notion d'heure elle meme inventé par l'homme, qui me fait juste sentir plus en retard dans "un monde sans cesse en avance" Pascal Obispo- ma Calvitie 1988
, aujourdhui on a solfégiser le blues, on a mis des théories sur le dessin dans des putain d'école des beaux arts a la con. , on a découvert jusqu a la dernière petites iles sur cette planète, si j'veux me retrouver seul j'ai pu qu'a me tuer ou a boire sans espoir.

Un jour je mathématiserais ma vision des choses, moi aussi
Mais faire sortir des choses de sa tete c'est bien plus dure que d'y faire rentrer une petite balle de 5 millimètre.
Traduire des sentiments avaec un crayon c'est pas si con, mais en fait si, comme si trois si bémol pouvait m'aider a mieux baiser. Ah si?

moi jamais je mens, ma p'tite gazelle j'te ramène en fensch,
mon coté punk tiens plutot du way of life du commandant Cousteau que d'la plume de Cocteau. J'atise et j'm enlise dans les pire brise du Nord est de la francophonie la ou les briques se grisent . j'ai toujours été un marin qui aurait perdu son bateau dans une partie de carte contre ta mère, tu vois l'tableau? pas de quoi faire une tartine.

Alors après j'ai regardé Jimmy dans les yeux et je llui soufflit:
.Si un jour on invente la bonnet qui rend cool tu sras surement assez con pour t'en acheter un ..

A LISBONNE COMME CHEZ NOUS C'EST LE MEME TOPEAU, J'RAPELLE MES AMIS LE LENDEMAIN POUR AVOIR DES NOUVELLES DE MOI,
-alors quoi Boris c'étais plutot old scholl cette soirée hier soir?
-ah ca tu parles , a partir de quel moment tu t'en souviens plus jo?
-bah j'me souviens que j'ai vomis quand je regardais le trailer sur le documentaire de Maradonna en disant que j'aurais pu etre un footbaleur pro
-ok, j't'explique,, t'as été pire que tout, tu crachais sur toute les filles , un moment tu nous a dis qu'en Belgique ca s'passait toujours comme ca, tu voulais te battre avec tous ceux qui parlait pas francais, c'est dire au Portugal, ensuite tu m'a demandé si j'avais pris des cours de piano, je t'ai dis oui, tu m'a ramené dans un bar Brésiliens ou y avait un concert genre rock garage, t'as commencé a essayer de te battre avec le batteur et tu les as insulté en Anglais, t'as essayé de me foutre derière le clavier, Ensuite on nous a sorti, t'as vu une fille super jolie et très bronzé, tu lui a demandé si elle était manouche, t'as pas attendu sa réponse, et tu lui a dit que ton oncle était gitan et que donc ton grand père avait surement baisé sa nièce, ,après t'as demandé de la coke a un dealer dans la rue près de sao Bento, il nous a emmené dans une petite ruelle, la, tu lui a dis en Anlgais, "Man, now you're with us, we're going to steal a car, come on" après t'as ouvert une voiture par la vitre et t'es monté dedans, l'alarme s'est allumé, après t'as couru et couru...., puis on t'a plus vu....
-ah...
-non mais t'inquiète, on a bien rigolé !

et vous sinon ca va les gars?

mercredi 24 septembre 2008

lundi 22 septembre 2008

Stylisé

"Lorsque l'on évoque le nom de "Toueneti Faive" dans les soirées huppées de la bourgeoisie hayangeoise, nous ne sommes pas sans se rappeler du faste dans lequel ces joyeux acrobates urbains aimèrent se vautrer quotidiennement, avec toute l'élégance et la raffinement que l'on leur connaît, sur trois marches, sous la pluie, souvent un verre de cognac a la main alors que le décor dans lequel ils évoluaient ne pouvait s'empêcher de nous rappeler que cette vallée fut longtemps pleine de fierté et de minerai.
Si ils passaient le plus clair de leur temps dans les recoins sombre de la place de l'église ce n'était point par dépit mais bien par choix de vie (par "lifestyle" comme dirait ces cons dégénérés) côtoyant toute cette misère belle de concupiscence et reluisante de regénerescence. Cent quatre vingt, trois marches, roll back et gay twist sur les 2, ne signifie rien pour le commun des mortels mais pour ces derniers poètes, c'est un hymne à la vie, un hommage à la vierge Marie les protégeant des coups dur et des bagarres avec les manouches. Leurs dialogues épanouis avec la faune locale, souvent composé de clodos alcoolo ou d'alcooliques sans domicile fixe, sont la composante la plus poignante de leur regards acerbes mais tellement juste sur le quotidien des hommes et des femmes.
Il est important de savoir d'où viennent ces hommes pour comprendre comment aujourd'hui ils sont devenus ces grands personnages rayonnant sur l'Europe de leur Art empreint de magie et de volupté.
Laissez vous guider par une google map jusqu'a Toul ce vendredi 26 septembre dans la boutique de Milque, rue des Trois Evéchés pour une déflagration d'images videostylisées projectées sur un écran plus grand que celui de ton ipod. Puis vous pourrez, a souhait, vous familiariser avec l'univers photographisque mais aussi graphique de la plus raffinée des bandes organisées, en dégustant un amuse-bouche sur une musique électronique de Kelly Lips.
Et d'ailleurs le poète d'outre rhin, qui arborait fièrement les couleurs ternies d'un régime coupé dans son élan, ne disait il pas:
"Enleve ton nez qu'je pète!"
"

Michel Du Boudin

Manque de style...

Je sais pas ce qui a pris a Milque de nous confier cette expo, on va tout lui ruiner...sinon je suis en montage intensif ( tu parles) et comme d'hab' les t shirt ça va foirer pour ce coup...


Je refais surface histoire de prendre une bouffée d'air avant de replongé....
Sinon merci blogspot d'avoir posté un message automatique pour dire que c'était mon anniv' c'était même pas moi et ça manqué drôlement de style...
Merci Charlie de me l'avoir souhaité avec autant de style...
J'ai trouvé des gens qui ont enfin mesuré ma beauté avecavec une certaine acuité et qui du coup m'accepte dans leur colloc', je n'y suis pas encore installé et donc squatte toujours a droite a gauche et surtout au milieu....
Donc je vais vivre dans une belle grande maison avec cinq gens, et le truc cool et qu'on pourra faire du rock garage vu qu'il y en a un...



jeudi 18 septembre 2008


Mathieu Becker, ta caisse claire me manque.
J'ai envie de crier de la musique.

Je passe de la guitare à la batterie en passant par l'orgue et la pédale.
Un petit coup de guitare éléctrique, un petit coup de wah wah. Un petit coup de gueule de caro parcequ'elle n'en peut plus. Un sample de tuba. Des paroles à deux balles écrites puis détruites.
Un genre d'ordinateur-passoir sur lequel je suis pas foutu d'installer windows.
Des tentatives d'enregistrement sur un micro-conférence. De la merde.
Mon vendredi passe comme un cigare qui se consume. Beaucoup de fumée pour pas grand chose.
Une diarée à la limite.



dimanche 14 septembre 2008

Halleluja

Halleluya

a ce gros qui joue de la guitare m'a souvent fait rire, non pas pour son obésité mais pour ces pochettes de cd, toujours pret a me faire des clin d'oeil, a me vanter ma self made man attitude, ah j'aurais du naitre au amérique, d'abord je serais pauvre a Harlem puis après j'aurais décidé de m'en sortir car mon Papa laveur de vitre de son état m'avait fait écouter Bruce Springsteen quand j'étais jeune jusqu'a ce qu'il ne soit plus croyant depuis que maman est morte d'une explosion du tympan en écoutant ses saleté de chanson, ensuite Papa n'osait plus écouté de la musique, ca lui rapelé la mort de maman, alors moi j'avais sombré dans l'alcool, je trainais mes groles du coté de Manathan, je tombas amoureux de cette prostitué qui s'apellait Jenny, je lui ai dit des choses que je n'avais jamais vu dans les clips de MtV ensuite nous partimes pour la France et ses plages aux odeurs de Pastis, mais horrifié par les prix du carburant je rejoins bien vite le pays des grands horizons, et maintenant que Jenny porte l'enfant de mon ami José ,frontalier Espagnol rencontré dans cette soirée Patrick sabatier a St tropez, je regrette l'époque de mes quatorze ans ou je buvais a m'en rendre malade,
Seul les alcooliques ont trouvé le bonheur sur terre, non pas parcequ'il n'ont plus d'espoir mais bien parceque c'est les seuls qui............ Merde je m'souviens plus d'la suite....

jeudi 11 septembre 2008

Spécial dédicace à Charlie Zanello.

Donnez moi de l'argent.

-Wa, c'est du bon matos que vous avez là! Y'a un bouton rouge pour "rec" et un bouton carré pour "stop". On fait plus rien d'aussi fonctionnel.

mercredi 10 septembre 2008

Lumière Blanche



C’est plutot rare que mon esprit vienne a s’aventurer sur ce genre de terrain mais je peux l’avouer: je ne verrais que trés peu d’inconvénients à ce que, le train dans lequel je me trouve, déraille, percute un autre train et crée une énorme collision provoquant une dizaine de morts.
Je pense qu’une petite dizaine de morts accouplé à la mienne suffirait a me procurer une satisfaction port-mortem valable. Beaucoup plus, en tout cas, qu’un banal cancer generalisé en phase terminal partagé avec une ablation de la rate ou une vulgaire myxomatose, dans un réduit anesthésié, alité dans un moeulleux moisi, le nez pris par par les fleurs endeuillées du matin; les pets de l’aprés manger et l’odeur de la soupe du soir; et comme pour seule escapade, un mur vert medicamenteux plus pale qu’un squale hiberneux.

Non vraiment, je prefere mille fois mon cadavre enchevetré de rails, de tôle, de debris humains penetré par une pluie des ardennes, voir même ma machoire encastrée dans la poignée de la porte coulissante qui me fait face plutôt que de me voir chiant sous moi avec comme seul secour un putain de buton rouge qui me fera apparaître une mattronne à l’oeil perfide pouffant de mon ridicule et s’impatientant d’une chute dans les escaliers de ma sortie-clope quotidienne.

“Si je vis vieux je me mettrais à fumer.”

Ca sonne bizarre. 

Je ne maitrise pas du tout l’emploi des modalités du futur dans la conjugaison.

Ca doit surement prouvé quelque chose.

Et si on tire la manette rouge d’urgence, pendant un virage par exemple, ça peut provoquer un accident? Un petit, pas un gros; une dizaine de mort quand même. 
Mon ego est bien trop gonflé de ridicule pour mourir seul. J’ai besoin de gens pour ma chute finale, rien que par soucis de partage de tristesse. Si je meurs seul, en me pleurera seul, si on meurs a plusieurs tout sera noyé, lui elle , moi et les autres.

Ca sera bien, ça sera mieux.

Et pis si on meurs a plusieurs, on parlera de nous dans les journaux, surement une minute de silence dans le pays, et pourquoi pas une journée de deuil nationale?
Qui n’en reverez pas?
D’ailleurs, tous les jours dans le monde, pleins de gens meurent, je veux dire de mort honorables (pas comme ces soldats qui se font embuscader bêtement). Des gens meurent et d’autres s’en foutent, moi le premier généralement, et biensur quand l’arriere grand mere de ma factrice succombe a la pire des maladies qui soit c’est a dire la vie, a l’age de quatre vingt dit huit ans, ça m’affecte, j’ai une petite pensée pour ma factrice. Alors que je continue vainement a essayer d’inserer ce petit bidule dans ce chose, Ecmet, huit ans, quelque part a l'autre bout de la terre, se fait peter la gueule par une mine anti personelle, qui n’avait strictement rien a faire sous son pied alors qu’il allait chercher des medicaments pour sa mere enceinte.

Pleins de gens meurent tous les jours, on devrait penser à eux. Tous les jours il devrait y avoir une minute de silence pour les gens qui s’eteignent.
On devrait aussi eteindre nos appareils electroniques pendant soixante secondes, tous les jours, afin de sauvegarder suffisament d’energie, le jour où il n’en n’y aura plus, histoire de declancher la mise a feu de toutes les bombes nucleaires en même temps juste pour voir si un de nous s'en sortira.
Et dire que c’est un début de mal de gorge qui me fait dire toutes ces conneries.
Un mal de gorge accouplé à une boule intestinale. Le genre de boule qui se forme quand on en maîtrise plus grand chose.
Bon y déraille ce train.

mardi 9 septembre 2008

Le café du coin d'en bas de la rue du bout de la ville d'en face du port : La Java, St Malo


Ma douce m'avait parlé d'un fabuleux café qui trône fièrement à St Malo, fidèle au poste depuis 1826, le plus vieux bouge du bled en réalité, oû paraît-il Surcouf aimait écluser quelques cervoises bretonantes en élaborant ses prochaînes chasses aux pirates. En tant qu'amateur de piraterie de 1er ordre, c'est avec un plaisir non dissimulé que nous nous rendîmes rue St Barbe pour l'heure de l'apéro. Le bar est calme et quelques anglais taillent la bavette, ou plutôt le rosbeef, calmement attablés. Un grand dadet, tablier noué autour du cou et béret à carreaux à la française,
se tient fièrement adossé au comptoir. J'imagine que c'est le patron. Je m'approche et commande avec assurance deux mojitos. Sa réponse résonne encore dans mon crâne : "Est ce que j'ai une gueule à faire des mojitos?"
Cette phrase résume à elle seule toute la nature du personnage : grincheux, caustique, jamais sérieux, toujours imprégné de 3ème degré est de whisky breton, maniant le viel argot comme dans les dialogues d'Audiard, et avec ce ton franchouillard à souhait...
Merde alors je retournerai bien m'y descendre un ptit canon de rouge

lundi 8 septembre 2008

samedi 6 septembre 2008

Quel Talent! Quel organe! Quel texte! Quel montage!

lundi 1 septembre 2008

La solitude.


Non Matthieu, la solitude nest pas une maladie honteuse.
A quand un concert de neuf metres carrés sur le camping non officiel de la fete de l huma? Je pense que c'est une idee à travailler.