vendredi 26 juin 2009




Une petite explication s'impose.

Alors que je chômais mon vendredi (comme tous les vendredis), je décidais de mettre un peu d'ordre dans l'aile ouest de mon manoir. En effet, l'encombrement était tel qu'il était devenu impossible d'accéder aux fenêtres. Vaste problème.
J'ai cependant été au bout de ma démarche.
Ranger, déplacer, passer l'aspirateur.

Fier de moi, je contais mes exploits à l'homme Mastodonte par téléphone. Celui-ci ne voulut me croire, prétextant que nul homme ou femme ne pourra jamais tenir allongé dans le sens de la largeur sur le sol de ma demeure.
-En effet, mes facultés d'organisation ainsi que mes notions de l'ordre sont régulièrement remises en question par les gardiens du "bon-sens", du "savoir vivre moderne" et de la "morale judéo-chrétienne" tels que M. Mastodonte.-
Voici donc, M. Mastodonte, la preuve par trois de la sincérité de mes propos.

Bien à vous. Charlie Zanello.

3 commentaires :

Masto a dit…

Cher monsieur Charlie, rappelez vous que mon prénom est Thomas, et comme mon fidèle apôtre st Thomas, je ne crois que ce que je vois.

De plus avec photoshop et tous ces fakes qui traînent sur le blog, on ne peux plus avoir confiance...

Dailleurs ton prochain défis sera de conserver cet espace opérationnel et conforme au bon sens de lorganisation judo chrétienne jusqua ma venue vendredi prochain ou procès verbal inquisiteur sera dressé

Voilà un défi de taille me semble t il

Masto a dit…

tiens je me dis aussi que l´on parait organiser une partie de curling sur ce grand espace...

Anonyme a dit…

a l'unique condition que ce fût un curling humain.

(envoyer un collègue à plat ventre, lustrer, atteindre la cible ou la fenêtre, en tenant compte de l'orientation du parquet.)

Pour ce qui est du défi sus-proposé, je ne peux m'y contraindre, puisque, je vous le rappel M."Thomas", ceci est un lieu de vie et d'activité intense. Je ne puis donc m'y imposer aucune contrainte de matériel ou d'utilisation de l'espace. Le procès verbal devra donc prendre en considération l'absence physique de l'inspecteur-inquisiteur au moment des faits.