lundi 12 janvier 2009

La charité chrétienne n'est ce qu'elle était

Un gus d’une organisation humanitaire me court aprés dans la rue pour soulager mon compte bancaire suisse, pour soutenir l’action de ses corrolégionaires qui se dore la pillule dans les pays du sud. 
En plus d’être d'une couleur différente de la mienne, ce jeune homme sent trés mauvais de la bouche et s’evertue à avoir un contact rapproché avec ma personne.
Comment lui expliquez, sans le froissez, que ma famille a batie une conséquente fortune durant la seconde guerre mondiale, ce qui leur à permis d’être à la tête de la plus grande entreprise de marchandage d’armes?

J’ai bien peur qu’il ne comprenne que je ne prefere pas m’emputer de mon crabe du kapchapka quotidien pour refiler un bifeton mensuel à ces organisations qui s’evertuent à barrer la routes aux affaires familliales, et pis si mes parents savaient cela je serait surement déheserité.

Non je ne prendrais pas ce risque fou.
Je prefere lui signaler son cruel manque de style vestimentaire tout en plaçant une singulière remarque sur son odorat buccale plus que suspiçieuse.
Je ne comprends pas ses balbutiements soudain, mais la bave aux levres et les yeux injectés de sang m’indiquent que ce jeune homme s’aventure sur un discours houleux et je dénote même quelques insultes argotiques voir même d’une langue étrangère, à mon encontre.
Fort heuresement pour lui, un collègue vient le raisonner et le retenir de me toucher. Dommage pour moi, car lui coller un petit procès m’aurait amuser un peu en cette morne journée ou le CAC 40 est toujours aussi bas. 


2 commentaires :

Le Capitaine Fritz a dit…

tout de facon medecin sans frontiere il tue plus de gens qu il n'en soigne....

Anonyme a dit…

"en plus d’être d'une couleur différente de la mienne, ce jeune homme sent trés mauvais de la bouche"

j'imagine que tu es blanc

(sinon j'ai remarqué (et non è) que tu confonds les accents)
wa!

maitregoogle94